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Vincent BESANCON

 Le déclic ?

Disons que ce n'était pas vraiment un déclic mais une occasion qui s'est présentée à moi. A l'époque, j'étais plutôt introverti mais j'ai l'impression d'avoir toujours aimé ça. J'ai participé, au collège, vers 13/14 ans à une pièce sur la révolution française qui parodiait une émission de télévision, avec des discours, des débats et beaucoup d'action. Je jouais à la fois le rôle de Thomas Jefferson et celui d'un général qui conduisait ses troupes.

 

Les débuts ?

A l’âge adulte tout à commencé fin 2006, en intégrant la troupe de Lagnieu, à l’époque Les Bourlacus, qui préparait deux pièces, « Jeff » et « Sexe et Jalousie » de Marc Camoletti. J’interprétais dans cette dernière le rôle de Bernard, mari trompé et jaloux ! Première expérience, premier rôle, premier défi et premier bonheur sur les planches avec mes camarades.

 

Une passion ?     
La musique, je joue de la guitare et je chante dans le groupe CIMARRON . L'expérience est différente mais le principe d'exposition est le même.

Un héros, une héroïne ?
James Hetfield du groupe METALLICA, ce n'est pas un héros en soi mais je l'admire par sa voix, son talent de guitariste et de compositeur.

Une citation, une devise ?

Il vaut mieux prêter à sourire que donner à réfléchir.

 

Ce que le théâtre vous apporte ?

Avant tout, j'aime cette atmosphère, l'ambiance qui règne au sein de la troupe, l'amitié entre nous, la rencontre avec les autres comédiens. C'est une respiration, une soupape de décompression. Ensuite, il y a le plaisir de jouer, d'exprimer des émotions, le contact avec le public et tout ce que l'on reçoit dans ces moments là. C'est un échange très intense, plus on me regarde et plus l'adrénaline monte, plus j'ai envie de donner encore et encore, de me dépasser...

 

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